27 juin 2011

Crise du capitalisme


Je suis convaincu que la crise actuelle du capitalisme n'est pas simplement conjoncturelle et structurelle. Il s'agit de la phase terminale. Le génie du capitalisme à s'adapter à toute circonstance est sur sa fin. Je réalise que peu de gens soutiennent cette thèse. Deux raisons, cependant, me conduisent à cette interprétation.
Lire : Leonardo BOFF, Crise du capitalisme : la dernière ?, Tlaxcala.

Les médias, les consultants, les économistes, les banques d'investissement, les présidents des banques centrales, les ministres du Trésor et les gouvernants ne font que parler de « la crise grecque ». Face à tant de chambard il convient de paraphraser ce propos de campagne de Bill Clinton en disant que c'est d'une crise du capitalisme qu'il s'agit, pas de la Grèce. Que ce pays est un des maillons les plus faibles de la chaîne impérialiste et que c'est pour cela que c'est là que les contradictions qui le rongent irrémédiablement se font le plus évidentes.
Lire : Atilio A. BORON, Ce n'est pas la Grèce qui est en crise, c'est le capitalisme !, Tlaxcala.

Lire aussi :
Dossier documentaire & Bibliographie Économie crise, Monde en Question.
Dossier documentaire & Bibliographie Économie sociale, Monde en Question.

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