Un nouveau rapport du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) décrit un tableau de la vie dans la Bande de Gaza très sombre : des logements en nombre insuffisant, des infrastructures détruites, un accès limité à l’eau potable et une mer polluée par le rejet des eaux non traitées.
Le rapport identifie les restrictions de mouvement imposées aux personnes et aux biens au cours des deux dernières années comme l’une des principales causes de la crise à Gaza.
« Israël a le droit de protéger sa population contre les attaques », a dit Antoine Grand, chef de la sous-délégation du CICR à Gaza, dans un communiqué. « Mais est-ce que cela signifie que 1,5 million de personnes à Gaza n’ont pas le droit de mener une vie normale ? »
IRIN a compilé des statistiques comparatives entre Israël et les Territoires palestiniens occupés (TPO) – Cisjordanie et Bande de Gaza combinées - pour replacer le rapport du CICR dans le contexte.
IRIN
Javier Solana, haut représentant de la diplomatie européenne, suggère que le Conseil de sécurité des Nations unies reconnaisse la Palestine dans un délai donné, même si Israël et les Palestiniens ne sont pas parvenus à un accord.
"Passé une échéance donnée, une résolution du Conseil de sécurité devrait proclamer l'adoption d'une solution à deux Etats", a-t-il déclaré samedi lors d'une conférence à Londres.
Le JDD
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