Beaucoup s'interrogent. C'est le cas, par exemple, de Jean Vinatier, de Gérard Grunberg et du Monde diplomatique.
Question récurrente pour Gérard Grunberg comme pour tous ceux qui n'ont pas encore tirer les leçons du 21 avril 2002.
Au Mexique aussi, les commentateurs n'ont pas encore pris la mesure, en 2009, de la déroute de la gauche en 2006.
En France, tout ce bruit autour de la chronique d'une mort annoncée fait le jeu de Marie-Ségolène Royal, la démagogue nationale...
Serge LEFORT
26/07/2009
Lire aussi :
• Tous les articles sur Marie-Ségolène Royal
• La génération 21 avril veut une grande lessive
Nous assistons depuis le 21 avril 2002, date de notre premier vote, à l’enlisement de la gauche. Le dernier scrutin des européennes l’a confirmé : nombre d’entre nous ne se retrouvent pas dans le programme du Parti socialiste et ne se sentent plus liés par l’impérieuse nécessité de «voter utile». Nous savons que sans changement majeur, il en sera de même en 2012. Et que la gauche perdra l’élection présidentielle si elle persiste à présenter autant de candidats que de chapelles, dans le seul espoir de se compter.
Lire la suite Libération
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commenter pour enrichir
Le but des commentaires est d'instaurer des échanges à partir des articles publiés par Monde en Question.
Respecter vos interlocuteurs
Appuyer vos commentaires sur des faits et des arguments, non sur des invectives.