8 février 2019

L'avenir de notre liberté - Faut-il démanteler Google ?

Bibliographie médias


Ce livre est un plaidoyer pour le progrès. Il nous fait pénétrer dans l'univers des nouvelles technologies, ses exceptionnelles perspectives et ses risques. On évoque aujourd'hui beaucoup le numérique, à juste titre, mais bien d'autres domaines scientifiques sont concernés, la génétique, l'énergie, les nano-technologies.

Peut-être notre liberté est-elle en danger : les dirigeants de ces grandes entreprises technologiques veulent définir le monde dans lequel nous vivrons dans les décennies à venir. Il s agit donc d éviter que les entreprises imposent leurs choix au monde, au détriment des puissances publiques, dans tous les domaines de notre vie sociale et privée.

Une première question parmi bien d'autres émerge : faut-il démanteler Google et les autres GAFA ?

Jean-Hervé LORENZI, Mickaël BERREBI, L'avenir de notre liberté - Faut-il démanteler Google… et quelques autres ?, Eyrolles, 2017 [Texte en ligne].

Lire aussi :
Index Médias, Monde en Question.
Dossier documentaire Médias, Monde en Question.
Veille informationnelle Livres, Monde en Question.

6 février 2019

Romy, de tout son cœur (2016)


Réalisateur : Pascal Forneri
Durée : 1h45
Année : 2016
Pays : France
Genre : Documentaire, Biographie
Fiche : Télérama
Partage proposé par : 9docu HD 720 FR


Lire aussi :
Filmographie, Ciné Monde.
Dossier Cinéma France, Monde en Question.
Index Cinéma (Tous les dossiers), Monde en Question.
Veille informationnelle Cinéma, Monde en Question.

4 février 2019

Luis SEPÚLVEDA (7 livres en ligne)

Bibliographie littérature


Luis SEPÚLVEDA, Le vieux qui lisait des romans d’amour, Métailié, 1992 [Texte audio en ligne].
Au bord de l’Amazone, un vieil homme ami des Shuars, qui lui ont appris à connaître la forêt, découvre la lecture et chasse un jaguar.

Luis SEPÚLVEDA, Le monde du bout du monde, Métailié, 1993 [Texte en ligne].
Un garçon de seize ans lit Moby Dick et part chasser la baleine. Un baleinier industriel japonais fait un étrange naufrage à l’extrême sud de la Patagonie. Un journaliste chilien exilé à Hambourg mène l’enquête et ce retour sur les lieux de son adolescence lui fait rencontrer des personnages simples et hors du commun, tous amoureux de l’Antarctique et de ses paysages sauvages. Il nous entraîne derrière l’inoubliable capitaine Nilssen, fils d’un marin danois et d’une Indienne Ona, parmi les récifs du Cap Horn, sur une mer hantée par les légendes des pirates et des Indiens disparus, vers des baleines redevenues mythiques.

Luis SEPÚLVEDA, Un nom de torero, Métailié, 2005 [Texte en ligne].
Les 63 pièces d’or de la collection du Croissant de Lune Errant ont été volées par les nazis. Après quarante ans de sommeil, à la chute du mur de Berlin, elles réapparaissent en Patagonie et la course-poursuite commence entre la Lloyd Hanséatique et les anciens agents de la Stasi.

La Lloyd a un atout majeur: Juan Belmonte. Il porte un nom de torero et un lourd passé de guérillero de toutes les révolutions perdues de l’Amérique latine. La Lloyd ne lui a pas laissé le choix : partir à la recherche des pièces d’or ou perdre Véronica, son unique raison de vivre, brisée par la torture.

Dans cette course au trésor vers la Patagonie, Belmonte retrouve un Chili où le poids du silence n’a pas enterré la profonde humanité des habitants du bout du monde.

Luis SEPÚLVEDA, Histoires d'ici et d'ailleurs, Métailié, 2011 [Texte en ligne].
En 1990, Sepúlveda revient au Chili après la chute de la dictature, il emporte une photo représentant un groupe de cinq enfants d’une banlieue ouvrière. Avec la photographe qui l’avait prise dans les années 70, il entreprend de reconstituer le groupe pour refaire la même photo. Ils retrouvent ceux qui sont maintenant devenus des jeunes gens mais l’un d’eux manque, il a disparu. A partir de l’histoire de cet enfant, Sepúlveda raconte l’histoire du Chili après 17 ans de dictature.

Vingt-deux histoires, chroniques toujours ironiques et tendres, parfois féroces, aussi, nous transportent à travers le monde, de l’Amérique latine à l’Europe, ici et ailleurs, à travers des situations différentes, des milieux différents, mais les mots de l’auteur nous ramènent toujours sur le même territoire littéraire, celui des vaincus qui refusent d’accepter la défaite. Un territoire que tous les lecteurs de Luis Sepúlveda connaissent et où ils retrouveront quelques-uns des meilleurs moments de son œuvre littéraire et de son inimitable force narrative, de son talent pour transformer observations et anecdotes en histoires fascinantes.

Luis SEPÚLVEDA, Dernières nouvelles du sud, Métailié, 2012 [Lien sur demande].
Nous sommes partis un jour vers le sud du monde pour voir ce qu’on allait y trouver. Notre itinéraire était très simple: pour des raisons de logistique, le voyage commençait à San Carlos de Bariloche puis, à partir du 42e Parallèle, nous descendions jusqu’au Cap Horn, toujours en territoire argentin, et revenions par la Patagonie chilienne jusqu’à la grande île de Chiloé, soit quatre mille cinq cents kilomètres environ. Mais, tout ce que nous avons vu, entendu, senti, mangé et bu à partir du moment où nous nous sommes mis en route, nous a fait comprendre qu’au bout d’un mois nous aurions tout juste parcouru une centaine de kilomètres. Sur chacune des histoires passe sans doute le souffle des choses inexorablement perdues, cet «inventaire des pertes» dont parlait Osvaldo Soriano, coût impitoyable de notre époque. Pendant que nous étions sur la route, sans but précis, sans limite de temps, sans boussole et sans tricheries, cette formidable mécanique de la vie qui permet toujours de retrouver les siens nous a amenés à rencontrer beaucoup de ces "barbares" dont parle Konstantinos Kavafis.

Quelques semaines après notre retour en Europe, mon socio, mon associé, m’a remis un dossier bourré de superbes photos tirées en format de travail et on n’a plus parlé du livre. Drôles d’animaux que les livres. Celui-ci a décidé de sa forme finale il y a quatre ans : nous volions au-dessus du détroit de Magellan dans un fragile coucou ballotté par le vent, le pilote pestait contre les nuages qui l’empêchaient de voir où diable se trouvait la piste d’atterrissage et les points cardinaux étaient une référence absurde, c’est alors que mon socio m’a signalé qu’il y avait, là en bas, quelques-unes des histoires et des photos qui nous manquaient.

Luis SEPÚLVEDA, Deux idées de bonheur, Métailié, 2016 [Texte en ligne].
Ce texte est né d’une conversation entre deux hommes venus d’horizons et de pays différents, l’écrivain chilien Luis Sepúlveda et le gastronome italien Carlo Petrini, défenseur du slow food et du “manger local”. De l’Amazonie au cœur de l’Afrique, de l’expérience amère de l’exil à la communion collective de Terra Madre, les souvenirs et pensées de ces deux auteurs d’exception tissent une conversation qui passe en revue l’actualité et la littérature, la gastronomie et la politique, la défense de la nature et de la tradition. Rencontres, récits, histoires de grands leaders et de petits héros du quotidien, Petrini et Sepúlveda nous entraînent à leur suite dans cette quête du droit au plaisir qui est aujourd’hui le plus révolutionnaire, le plus démocratique, le plus humain des objectifs. Avec cependant la lenteur et la sagesse de l’escargot. Parce que nous aussi nous pouvons cesser de courir vers une destination inconnue, et recommencer pleinement à exister.

Luis SEPÚLVEDA, La fin de l'histoire, Métailié, 2017 [Texte en ligne].
Juan Belmonte a déposé les armes depuis des années, il vit en Patagonie près de la mer avec sa compagne, Verónica, qui ne s’est pas encore complètement relevée des tortures qu’elle a subies sous la dictature de Pinochet. Mais les services secrets russes qui connaissent ses talents de guérillero et de sniper vont le forcer à leur prêter main forte.

À l’autre bout du monde, un groupe de cosaques nostalgiques a décidé de libérer le descendant du dernier ataman, Miguel Krassnoff. Fils des cosaques russes qui ont participé à la Deuxième Guerre mondiale dans les régiments SS, Krassnoff est devenu général de l’armée de Pinochet, avant d’être emprisonné à Santiago pour sa participation à la répression et à la torture pendant la dictature militaire. Et Belmonte a de bons motifs de haïr “le cosaque”, des motifs très personnels.

Lire aussi :
Luis SEPÚLVEDA Bio-bibliographie, Biblio monde - Biografías y Vidas - Métailié.
Luis SEPÚLVEDA Articles, Rebelión.
Luis SEPÚLVEDA Audio, France Culture - RTS.
Index Littérature, Monde en Question.
Veille informationnelle Livres, Monde en Question.