Quelque chose est en train de changer. Le jour de la mort de Banou et Zyad, une révolte populaire éclate et se développe en feu de broussailles. Dans toute la France, des jeunes expriment, comme ils le peuvent, leur colère légitime. L'incompréhension est totale dans le pays : Krivine (leader de la Ligue communiste révolutionnaire, LCR) fait des rondes avec des miliciens amateurs pour protéger sa voiture. Lutte ouvrière (LO) qualifie les jeunes de "voyous". Le Parti communiste (PC) demande au pouvoir de maintenir l'ordre. Le Parti socialiste (PS) approuve l'état d'urgence. Les "anars" ne sont pas forcément plus clairs.
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