09/08/2011, La lutte continue en Israël, Solidarité Ouvrière
09/08/2011, Víctor M. TOLEDO, Los indignados: ¡la globalización del poder social ha comenzado!, La Jornada
Todo indica que conforme el tiempo pasa más miembros de nuestra especie estamos indignados. Mientras las noticias de los atracos financieros, las crisis de los partidos políticos, la corrupción de las iglesias, el desastre de los bancos o la imbecilidad de los poderosos intentan saturar todos los espacios de la comunicación, cada vez más se cuelan por las rendijas que quedan las novedades en torno a los que estamos indignados. Porque cada día que pasa es mejor que el que viene, cada vez hay más indignados. Brotan como hormigas y se multiplican como conejos. En Egipto como en Túnez, en Italia como en España, en Marruecos como en Siria. Y la indignación llega hasta lo más norte y vuelve realidad un sueño: en Islandia los ciudadanos expulsan a su gobierno corrupto y ponen en la cárcel a los empresarios cómplices. ¿En cuantos países más habrá que hacer lo mismo?09/08/2011, Elena ZAGOROGNIAÏA, Baisse de la note de crédit US : faut-il sombrer dans la panique ?, RIA Novosti
Lundi a été un moment de vérité pour les marchés mondiaux et, probablement, pour tout le système économique contemporain. Les dettes souveraines, les perspectives des politiques nationales, le sort des investissements à l'échelle mondiale, la situation géopolitique : tout a été mis sur le tapis. Et tout cela en raison de la première diminution de la note de crédit des Etats-Unis, annoncée vendredi soir par l'agence de notation Standard & Poor's (S&P).Lire aussi :
Ainsi, pour la première fois depuis 1860, lorsque la S&P a évalué la fiabilité des obligations ferroviaires du gouvernement américain, la note de crédit du pays passe de AAA à AA+. Il est à noter que selon la S&P, actuellement 18 pays méritent la note maximale AAA, dont l'Australie, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, le Canada et la France. Les Etats-Unis n'en sont plus dignes.
L'Europe s'est retrouvée dans une situation extrêmement difficile. Au plus fort de la crise des dettes souveraines. Les institutions financières européennes aident déjà la Grèce, le Portugal et l'Irlande à rembourser leurs dettes. Mais les problèmes de la dette de l'Italie et de l'Espagne se sont aggravés, ce qui est susceptible d'aspirer toute la zone euro dans la spirale de la crise.
D'une manière ou d'une autre, tout le monde va ressentir l'effet des turbulences du marché qui viennent de commencer. Toute personne, toute compagnie, tout pays et toute institution supranationale. Et il ne faut pas blâmer la S&P pour avoir appuyé sur la détente. La décision de l'agence de notation n'est qu'un prétexte, et non pas la cause.
• Revue de presse Crise économique, politique et sociale 2011, Monde en Question.
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